jeudi 19 avril 2012

Textes inspirés...

Quand le nouveau thème de la collection Osez a été annoncé: Osez 20 histoires de sexe dans un train, j'avoue que je n'étais pas très inspirée. Pour cause! Si le train est très utilisé en France, il ne l'est pas beaucoup chez moi (on préfère les bus). Du coup, j'étais plutôt en panne d'inspiration et j'ai même craint de passer mon tour, sur ce coup-là.

Mais voilà qu'hier, non pas une, mais deux idées m'ont traversé l'esprit. Tellement qu'aujourd'hui, elles sont déjà écrites.

Étant donné la nature de l'appel à textes, je ne peux pas les partager avec vous, mais je me permets de vous jeter deux courts extraits (soyez indulgent, ce sont des premiers jets). Je ne doute pas que votre imagination fera le reste...

Extrait du premier texte:

— Touchez-vous. Caressez-vous avec moi…
Je n’hésitai qu’un instant avant de céder à sa demande, probablement parce que j’en crevais d’envie. Mes muscles étaient tendus et raides, tellement que j’eus de la difficulté à glisser une main entre mes cuisses. Je me laissai donc retomber sur le dos, écartai les jambes avant de laisser mes doigts disparaître sous ma culotte et caresser mon clitoris avec empressement. J’étais détrempée et mon corps était en feu. Il me fallut réprimer un gémissement tellement l’excitation était vive et provoquait une houle délicieuse dans mon bas-ventre à chacun de mes mouvements.
— C’est bon ? chuchota-t-il.
— Oui. Oh oui.
Et du second:

Il s’empresse de défaire sa braguette et fait deux pas dans ma direction pour me foutre sa queue sous le nez :
— Allez, viens-là, ma toute belle.
C’est à peine s’il ne force pas l’entrée de mes lèvres tellement il meurt d’envie de se faire sucer. Au moins, celui-là, il sait ce qu’il veut. Rien à voir avec son collègue. Je l’accueille dans ma bouche sans résistance aucune et il semble se plaire à m’indiquer un rythme rapide en se tenant à mes cheveux. Il gémit des « Mmm » et des « Oui, comme ça » à répétition. Je gémis aussi. D’abord parce que ça excite les hommes, mais parce que moi aussi, ça m’excite d’être en contrôle de la situation. Sa queue gonfle rapidement et juste à la façon dont il est à bout de souffle, je sens qu’il ne va pas tarder à décharger. Ses doigts me plaque contre son ventre, me retient contre lui pendant qu’il éjacule de longues lampées de sperme chaud tandis que son bassin continue de donner de petits coups entre mes lèvres.
— Oh bordel ! Quelle bouche !

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