lundi 9 avril 2012

Un cadeau...

Un nouveau texte pour un AT non retenu, mais tout disposé à vous plaire. Je passe en coup de vent, mais je ne vous oublie pas.

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Pendant qu’elle parle, sa main pousse la verge en moi dans de petits gestes lents et ce frottement déclenche de petits bonheurs dans mon bas ventre. Julie m’observe avec un large sourire alors que je cherche à masquer mon trouble en détournant la tête contre l’assise du canapé.
— On dirait que ça t’excite, petite coquine ! se moque-t-elle de moi en accélérant la cadence.
Elle sort le vibromasseur et le ramène en moi avec une facilité qui m’étonne : mon corps l’accueille, s’ouvre et frémit à la seconde où il s’enfonce en moi. Je ferme les yeux, je savoure chacun de ces passages qui déclenchent des soubresauts que je tente de réprimer en serrant les poings. C’est trop fort ! Je fais mine de vouloir retenir le mouvement de sa main en bafouillant, non sans difficulté :
— Julie, je crois que… ça ira.
— Du calme ! Y’a que toi et moi, ici. Laisse-moi te détendre, tu veux ? Tu vas voir, avec un machin comme ça, c’est super rapide.
Sans attendre ma réponse, elle se remet à me pénétrer de plus en plus fort. Cette fois, un gémissement franchit mes lèvres sans que je ne parvienne à le retenir et je sens mon corps se cambrer sous ses assauts. Sa voix se fait plus douce :
— Oui, comme ça. Tu vois que ce n’est pas difficile ? Laisse-toi faire ! Et encore ! T’as pas vu à quel point mon cadeau est génial… attends, je te montre…
Elle active le mode vibration et j’ai soudain la sensation que tout mon corps se met à trembler avec ce sexe en plastique. Mes mains cherchent à se retenir à tout et à n’importe quoi, s’accrochent au rebord du canapé alors que mon souffle s’emballe. C’est fort. Trop fort.
— Oh… Julie…
Je n’ai pas la force de la supplier d’arrêter. J’ai follement envie de jouir et pourtant, devant ma copine, cela me paraît si étrange. Elle chasse mon hésitation en reprenant :
— Il y a même huit vitesses, tu vois ?
Elle augmente la fréquence, se remet à me pénétrer à bon rythme. C’est trop ! Je perds la tête en écrasant une main sur ma bouche, mais si le cri est évité, mon corps réagit violemment, se déhanche de plaisir. Dans l’extase qui me submerge toute entière, je m’agrippe à l’épaule de Julie, la ramène contre moi en jouissant comme une folle. Il y a une éternité que je n’ai ressenti quelque chose d’aussi fort et ça ne s’arrête pas.

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