Pour me prouver ses
dires, il me fait signe de m’installer face à sa tête de lit et comme je me
fais prier, il m’y pousse. Dès que je suis en place, il remonte ma jupe
par-dessus ma taille, fait descendre ma culotte en laissant sa langue dériver
entre mes fesses.
— Tu vas… me
salir, soufflai-je en percevant une vive excitation dans mon bas ventre.
— Mais non… je te
lubrifie, c’est tout.
Alors qu’il continue
de me lécher l’anus, je le sens déballer un condom et l’enfiler en quatrième
vitesse. Ma croupe se tend, s’offre, mais elle n’en n’a nul besoin. Joey est
prompt à venir m’enfiler et me prend d’un coup sec, me plaque contre le meuble,
m’arrache un râle qui, à la cadence où il se déchaîne, a vite fait de se
transformer en petits cris.
— Oh oui… jouis,
jubile-t-il en cherchant à enfouir ses doigts dans ma bouche.
J’adore la façon dont
sa main secoue mon bassin au rythme de ses coups de butoir et davantage encore
la façon dont son corps s’impose au mien, obligeant ma tête à venir se coller
contre la tête du lit, sans parler de ses doigts qui dansent avec ma langue dans
un va et vient pervers entre mes lèvres. Juste à la vitesse qu’il me baise, je
sens qu’il cherche à me faire céder le plus rapidement possible. De toute
façon, je n’ai aucune envie de résister. Je le laisse me secouer avec plus de
ferveur et ses grognements se font plus sourds. Son impatience aussi.
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