Un petit extrait?
Enfin ! Il
s’avance vers moi à grands pas, me plaque contre lui pour m’embrasser pendant
que ses mains cherchent à faire basculer ma robe par-dessus ma tête. Elle n’est
pas sur le sol que la table tremble quand il m’y rejette par l’arrière, me repousse,
puis jette sa bouche sur mon petit déshabillé noir, s’empresse de se frayer un
chemin entre mes cuisses qu’il dévore comme un forcené. Je m’ouvre sans
attendre, facilite le passage à sa langue inquisitrice qui n’a rien de tendre,
mais peut-être est-ce le fait d’être imberbe ou la façon dont il coince mes
jambes et m’oblige à rester ainsi offerte. Je suis à deux doigts de perdre la
tête quand il me redresse, me tourne si rudement que le verre sur la table en
tremble. Mon sexe palpite et se languit pendant qu’il sort le sien. Pas le
temps de repousser son pantalon qu’il m’écarte à nouveau, cherche le moyen le
plus rapide de me pénétrer, entre en moi si prestement que j’en échappe un cri
de surprise. Au lieu de se figer, Ian recommence, et ses coups de boutoir me
font tressaillir et chanter de la plus délicieuse des façons. La table est
secouée, se déplace vers l’avant, et même quand la bouteille de bière tombe et
roule jusqu’à tomber sur le sol, Ian poursuit son assaut. Il faut dire que mes
suppliques tentent de le retenir à la tâche :
— Ne t’arrête
pas ! Ne t’arrête pas !
Mes
doigts se retiennent au rebord de la table qui s’avance à chaque coup qu’il
m’assène. Paradoxalement, il me tire vers l’arrière, comme s’il cherchait à la
retenir dans ses déplacements. Ses doigts s’agrippent à ma taille et à mes
fesses, les malmène et il joue régulièrement avec l’élastique qui retiennent
mes bas. Je crois que la lingerie l’excite. Ça tombe bien, j’en ai toute une
collection à la maison. La suite ici
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