Elle émet un autre « hum » discret que je considère comme un encouragement à poursuivre. Je remonte, masse fermement le bas de sa cuisse gauche. Je pétrie cette chair avec plus de force, mais j’avoue que je suis impatient d’effectuer le même mouvement quelques centimètres plus haut. J’essaie de me raisonner à prendre mon temps, mais mes doigts finissent quand même par s’échouer là où ils peuvent sentir la proximité du sexe d’Hélène. En fermant les yeux, je crois même percevoir sa chaleur et sa pilosité à travers sa culotte sur laquelle le côté de ma main se frotte. Il faut dire que j’y reviens de plus en plus souvent et qu’il me plaît d’augmenter la pression quand j’y suis. Elle émet un petit son, quelque chose qui ressemble à un râle. Je relève la tête pour essayer de distinguer un indice sur ce nouveau bruit, mais comme elle est immobile, je me demande si elle ne se serait pas endormie. Est-ce sa façon de m’indiquer de continuer? À tout hasard, je redescends un peu avant de changer de côté. Je fais le tour de la table et reprends mes caresses sur sa cuisse droite. Dès que je remonte vers sa zone trouble, j’en oublie mes craintes et je recommence à la pétrir avec force. Si fort que ses jambes s’entrouvrent délicatement à chacun de mes passages et qu’un son fort agréable se fait entendre. Je souris. Cette fois, nul doute que son sexe est bien humide et je persiste à rester un moment dans cette région où mes mouvements provoquent régulièrement ce bruit.
Je m’attarde plus que d’habitude à cet endroit, mais je finis par redescendre sur ses mollets. Je sais que son dos est la zone la plus tendue et que c’est là que je devrais concentrer toute mon attention, mais je n’arrive pas à détacher mes mains de ces magnifiques jambes. Je veux encore entendre ce son délicieusement humide. Je remonte donc son pied vers le haut, masse le devant de son mollet et j’y mets suffisamment de force pour que le chant de son sexe se fasse entendre à quelques reprises. C’est plus fort que moi : j’ai la sensation qu’il hurle et qu’il a envie d’être touché. Mon pantalon se tend, répond à son appel. Lui et moi, nous pourrions si aisément évacuer toutes les tensions du corps d’Hélène.
[Extrait de Douceur et détente]
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