dimanche 11 mars 2012

Chevauchée mordante...

Décidément, cette histoire de vampire m'inspire beaucoup...
Extrait du chapitre 2.

Je me redressai sur lui, laissai mon sexe venir se frotter contre le sien, puis le poussai en moi sans attendre. Assise sur lui, j’entrepris de le chevaucher à toute vitesse, en laissant mon corps se courber vers l’arrière. Vincent m’observait sans bouger, sans même chercher à bonifier mes gestes d’un simple coup de bassin. Je m’essoufflai vite, mais je ne voulais pas m’arrêter. Je savais que ma chaleur lui plaisait et sentais que de la sueur se formait dans mon dos. Quel contraste avec ce pieu froid entre mes cuisses. Le plaisir grimpait au rythme de ma chevauchée, mais elle n’avait rien de comparable avec ce que lui parvenait à faire avec moi. Dès que ma fatigue m’obligea à diminuer la cadence, le corps de Vincent reprit vie et d’une main habile, il me ramena prestement contre lui. Ses jambes écarta mes cuisses et sa main se positionna sur ma croupe, la descendit sur lui dans de petits coups rapides durant lesquels sa verge grimpa plus loin en moi. Il m’arracha un cri délicieux. Je peinais à me retenir de chaque côté de sa tête pour ne pas m’affaler de tout mon long sur lui, mais il semblait trop accaparer par la course de nos sexes pour s’en soucier. Dans son accélération, mes bras me lâchèrent et je me retrouvai la bouche contre son cou, à répéter des « Oh oui » suppliants. Ses coups de bassin se firent violent et je percevais ma croupe qui se soulevait et qu’il ramenait aussi prestement vers lui. L’orgasme terrassa mon corps et je restai là, à la fois molle et offerte, complètement étendue sur lui, sans chercher à bouger même si tout devint immobile. Sa langue se glissa dans mon cou, lécha ma sueur, puis il me bascula sur le côté pour être plus confortable pour me boire à cet endroit. Je ne bougeai pas, n’eus aucune réaction lorsque je perçus ses dents qui mordit dans ma chair. Mon esprit divaguait dans les résidus de plaisir qu’il venait de m’offrir et le seul mouvement que je parvins à faire fut de caresser sa longue chevelure, laissant mes doigts s’y enrouler pendant que le calme reprenait lentement possession de mon corps.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire