Décidément, cette histoire de vampire m'inspire beaucoup...
Extrait du chapitre 2.
Je
me redressai sur lui, laissai mon sexe venir se frotter contre le sien, puis le
poussai en moi sans attendre. Assise sur lui, j’entrepris de le chevaucher à
toute vitesse, en laissant mon corps se courber vers l’arrière. Vincent
m’observait sans bouger, sans même chercher à bonifier mes gestes d’un simple
coup de bassin. Je m’essoufflai vite, mais je ne voulais pas m’arrêter. Je
savais que ma chaleur lui plaisait et sentais que de la sueur se formait dans
mon dos. Quel contraste avec ce pieu froid entre mes cuisses. Le plaisir
grimpait au rythme de ma chevauchée, mais elle n’avait rien de comparable avec
ce que lui parvenait à faire avec moi. Dès que ma fatigue m’obligea à diminuer
la cadence, le corps de Vincent reprit vie et d’une main habile, il me ramena
prestement contre lui. Ses jambes écarta mes cuisses et sa main se positionna
sur ma croupe, la descendit sur lui dans de petits coups rapides durant
lesquels sa verge grimpa plus loin en moi. Il m’arracha un cri délicieux. Je
peinais à me retenir de chaque côté de sa tête pour ne pas m’affaler de tout
mon long sur lui, mais il semblait trop accaparer par la course de nos sexes pour
s’en soucier. Dans son accélération, mes bras me lâchèrent et je me retrouvai
la bouche contre son cou, à répéter des « Oh oui » suppliants. Ses
coups de bassin se firent violent et je percevais ma croupe qui se soulevait et
qu’il ramenait aussi prestement vers lui. L’orgasme terrassa mon corps et je
restai là, à la fois molle et offerte, complètement étendue sur lui, sans
chercher à bouger même si tout devint immobile. Sa langue se glissa dans mon
cou, lécha ma sueur, puis il me bascula sur le côté pour être plus confortable
pour me boire à cet endroit. Je ne bougeai pas, n’eus aucune réaction lorsque
je perçus ses dents qui mordit dans ma chair. Mon esprit divaguait dans les
résidus de plaisir qu’il venait de m’offrir et le seul mouvement que je parvins
à faire fut de caresser sa longue chevelure, laissant mes doigts s’y enrouler
pendant que le calme reprenait lentement possession de mon corps.
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